Mon nom est : Gensou Je m'appelle Yukiko Je me surnomme Yue ou Yuki J'ai 25 ans Je suis un : Ninja J'appartiens au village de : Konoha Je suis un Anbu Je maitrise le(s) affinité(s) suivante(s): Suiton, Fûton, Hyôton et Genjutsu
Je me décris physiologiquement: ♣ D'une taille plutôt petite, la jeune femme mesure à peu près 1m60, à quelques centimètres plus ou moins. Mais honnêtement, Yukiko préfère ne pas être trop grande. De cette manière, il lui semble qu'elle attire moins l'attention. Petite taille signifie aussi faible poids. Mais quand à l'exactitude de son poids, Yukiko ne saurait le dire réellement du fait qu'elle n'a pas de pèse personne. Et à dire vrai, elle s'en fiche un peu puisque son corps restera toujours parfait à ses yeux.
♣ Niveau visage, et bien, il est plutôt pâle, elle n'a jamais eu l'occasion de faire bronzette quelque part. Yukiko s'en fiche. Et puis, au moins, quand elle est dans la neige, y'a pas beaucoup de contraste. Si son visage est blanc, et bien, il y a aussi sa longue chevelure qui l'est : blanche avec quelques nuances de bleu, du moins, quand elle est au soleil. Ses yeux rouges ressortent un peu de son visage, mais pas trop non plus. La jeune femme possède aussi un tatouage à la base de sa nuque. Signe de révolte, ou quelque chose dans le genre.
♣ On en vient ensuite à son corps : pas trop grande comme dit, pas trop grosse non plus. Sa poitrine est, la plupart du temps, cachée par d'amples vêtements qu'on pourrait dire qu'ils sont trop grands pour elle. Comme Yukiko aime à le dire : c'est l'effet de surprise quand elle les retire et qu'elle fait face à son partenaire du moment. Quelques surprises dans la vie, ça ne fait pas de mal, non ?
♣ Côté fringues, comme dit, la plupart du temps, des vêtements qui sont trop grands pour elle. Yukiko a pourtant une immense garde-robe mais elle s'habille en fonction de ce qu'elle fera dans la journée. Si elle doit sortir, se rendre chez quelqu'un, croiser des gens en somme, elle portera des fringues plus grandes, dans lesquelles elle nagera forcément un peu. Si pour une raison ou pour une autre elle doit se rendre dans un des villages cachés, elle optera plutôt pour une tenue dans laquelle on aura du mal à la reconnaître. En somme, quelque chose qu'elle ne porte que rarement ou qui n'est pas du tout son style. Brèfle, cela dépend donc de où elle se rend.
♣ Oh, et il lui arrive de porter tout plein de bijoux différents : bracelets, colliers, bagues, broches, pinces pour les cheveux. Brèfle, Yukiko en a plein qu'elle a trouvés ici et là et qu'elle garde dans plusieurs boîtes à bijoux.
Je me décris moralement : ♠ Yukiko est une femme séduisante, agréable dans ses contacts avec les autres où elle semble ouverte, communicative, compréhensive. Peu timide, sa personnalité reste partagée entre son intérêt pour les autres, auxquels elle prête une oreille attentive, et son désir personnel d'être reconnue à sa juste valeur, elle lutte pour la première place ...
♠ Gaie et enthousiaste, elle demeure assez impatiente en règle générale et n'est pas l'abri d'explosions de colère, d'autant qu'elle est très nerveuse et parfois capricieuse. Elle est vive d'esprit, adaptable, adroite, et possède un solide sens critique. Sa mémoire est bonne, Yukiko n'a pas de problèmes intellectuels, excelle dans la pratique des langues étrangères et dans l'expression.
♠ Elle sait parfaitement user de son charme et de son sens de persuasion pour arriver à ses fins. Curieuse, elle tend peut-être un peu trop à se disperser, goûtant particulièrement aux changements.
♠ Niveau sentimental, Yukiko pourra vraiment péter un câble si jamais on fait du mal aux animaux. Oui, car ayant grandi au milieu de ces derniers, elle ne supporte pas qu'on leur fasse du mal. Gare à vos fesses. C'est là l'une des seules raisons qui pourrait la pousser à se battre. Car généralement, elle préfère user la diplomatie plutôt que de combattre à coup de Jutsu.
• L'histoire de Yukiko commence lorsqu'elle était enfant et qu'elle avait trois ou quatre ans. A cette époque là, elle vivait avec son père et son frère, Akihiko, de deux ans son aîné -pas de mère, elle était malheureusement morte peu de temps après la naissance de la petite, la grossesse et l'accouchement s'étant plutôt mal passé-. Un frère qu'elle ne portait pas vraiment dans son coeur du fait qu'il monopolisait toujours l'attention des adultes, que ce soit son père, ou les grands-parents, les tantes ou les oncles. Elle ne savait pas pourquoi. Peut-être parce qu'il charmait les adultes avec sa politesse, le fait qu'il se tenait bien, et d'autres trucs dans le genre. Ou peut-être c'était parce qu'il venait de passer avec brio l'examen Genin pour devenir un fort et fier Shinobi. Mais Yukiko s'en fichait un peu. Elle avait de quoi s'occuper. Son père élevait des chiens, des loups, et s'amusait même de temps à autre à faire quelques expériences sur eux, du genre, pour croiser les espèces et voir ce que ça donnait. Yukiko passait beaucoup de son temps avec ces canidés, en compagnie de quelques employés de maison. Yukiko reçut à l'âge de cinq ans son premier animal de compagnie.
• Dans le même temps, toujours à l'âge de cinq ans, malgré plusieurs refus de la part de son père, Yukiko, qui n'en faisait qu'à sa tête déjà, intégra l'académie grâce à son frère. D'ailleurs, Akihiko en fut très content car cela lui permettrait de passer plus de temps avec sa petite soeur qu'il aimait tant. Yukiko dût travailler dur, parce que les premiers temps, elle n'était pas vraiment habile avec les armes. Mais Akihiko était toujours là pour lui donner un coup de main. Oui. Il avait beau avoir seulement deux ans de plus qu'elle, il semblait bien plus responsable, comme s'il était sorti de l'enfance ou quelque chose dans le genre. Ou alors, comme s'il se devait d'aider et de protéger sa soeur du mieux qu'il le pouvait. Mais cela ne l'empêchait pas de travailler, bien qu'il passait beaucoup de temps avec Yukiko.
• Yukiko passa l'examen pour devenir un Genin à ses neuf ans. C'était peut-être un peu plus tardivement contrairement à son frère mais elle, par rapport à lui, avait été la première de sa classe. Et puis, il n'y avait pas de rivalité entre eux deux. Donc, hein, qu'elle soit diplômée un peu plus tard que lui, elle s'en fichait. Tous deux Genin donc cette année là, les équipes furent reformées, va-t-on savoir pourquoi d'ailleurs. Yukiko se retrouva donc avec son frère Akihiko et un autre garçon, âgé de dix ans -pour rappel, Yuki en avait neuf et Akihiko onze- qui s'appelait Misaki. Et hop, le joyeux trio partait en mission en compagnie de leur senseï un peu loufoque qui leur offrait toujours des chocolats et qui s'appelait Kamijô Hiroki -et qui, par le plus grand des hasards, était le grand frère de Misaki-. Il avait quoi ? Une vingtaine d'années, enfin, quelque chose dans le genre. Une chose était sûre, l'ambiance était au beau fixe et ils se marraient bien tous les quatre, pour sûr !
• Yukiko finit par atteindre ses douze printemps et là, elle eut le malheur d'avoir sa première expérience face à la mort. Son chien, celui que son père lui avait offert, était mort de maladie. Le décès de son pauvre animal, la marqua durant plusieurs années, voire même plus puisqu'à ce jour, elle n'accepte toujours pas ce fait. Yukiko se demandait pourquoi l'homme, l'être humain, la faune et la flore étaient touchés par ce fléau. Elle en vint à penser qu'elle aussi, elle finirait par mourir. De sombres pensées pour une adolescente mais bon, il fallait qu'elle se fasse une raison. Son animal était parti et jamais plus elle n'aurait ce lien qu'elle avait avec lui. Certes, elle pourrait retrouver quelque chose de semblable mais pas totalement non plus.
• Suite à la disparition de cet animal, on porta un peu plus attention à l'adolescente en proie à des questions existentielles. D'une, parce qu'on avait peur de ce qui pouvait lui arriver, du genre, qu'elle tente par elle-même de trouver certaines réponses qui ne devraient être découvertes que bien plus tard. De deux, parce qu'elle avait grandi et qu'elle avait un corps qui devenait de plus en plus féminin. Yukiko ne portait pas vraiment attention aux garçons, mais l'inverse n'était pas vrai. Son frère était même le premier à dire à ses "potes" que sa soeur était canon. Possible qu'il avait quelques fantasmes mais il ne dépasserait pas les liens fraternels qu'ils avaient. C'était son frère, point barre. S'il voulait lui faire quelques trucs, ça serait seulement en rêve, dans son esprit où personne n'irait trifouiller et où ses sombres désirs ne feraient de mal à personne. Seulement, ce n'était pas l'avis de ses potes Chuunin qui avaient franchement envie de la cuisiner -bin, oui, les pervers, ça existe !-
Y'en eut un qui tenta de sauter le pas alors qu'il était invité dans la grande demeure. Toute la journée, ou presque, il avait suivi Yukiko, attendant le moment opportun. Et il avait pensé l'avoir trouvé lorsqu'ils s'étaient retrouvés seuls dans une petite annexe de la propriété qui abritaient généralement les canidés. Sauf qu'ils étaient partis en promenade. Enfin, tous sauf un, une chance d'ailleurs pour Yukiko. Parce que le type l'avait plaquée contre un des murs et voilà qu'il commençait à la tripoter. Elle pouvait toujours crier, on ne l'entendrait pas. Mais elle le fit quand même, et heureusement d'ailleurs. Parce que même si Yukiko avait eu un animal qu'elle préférait plus que les autres, ce n'était pas pour autant qu'elle s'était délaissée des autres. Un grand loup blanc était alors sorti de sa cachette et voilà qu'il mordait le sale type aux fesses pour lui faire lâcher prise. Enfin, le mordre, c'était un grand mot parce qu'il avait quand même perdu quelques morceaux de chair dans la bagarre. Oui, un morceau de sa fesse droite s'était faite arrachée par la gueule du loup. Et son bras gauche fut aussi pas mal entamé. Le pauvre gars ne remit jamais les pieds dans la propriété -dit en passant, j'crois qu'il a fini par se faire arrêter et a été déchu de son statut de Shinobi. Il doit croupir dans une prison, ou un truc dans le genre-.
A partir de ce jour là, Yukiko décida de se dévouer à ses petits animaux qu'elle aimait tant, tout en poursuivant, bien évidemment, ses entraînements pour se perfectionner en tant que Shinobi. Elle en prenait soin, et bien, d'ailleurs, c'était bien mieux qu'elle le fasse parce que son père commençait à s'en délaisser.
• Nouvelle période intéressante de sa vie. Quinze ans, l'heure des amours, enfin, façon de parler. Comme dit plus tôt, ou j'l'ai peut-être oublié, je sais plus, Yukiko ne s'intéressait pas plus que cela aux garçons. Pourquoi ? Et bien, pas le temps. La moitié de la journée, quand elle n'était pas en mission, elle passait son temps à s'entraîner encore et toujours. Non pas pour tenter de surpasser son frère. Après tout, il avait deux ans de plus qu'elle et il était donc normal qu'il soit un peu plus en avance. Mais elle ne voulait pas passer pour une faible. L'autre partie de sa journée, elle s'occupait des canidés. Mais fallait pas croire qu'elle était toute seule quand elle le faisait. Y'avait toujours Misaki qui passait dans les parages, du moins, quand il avait le temps -d'ailleurs, il prenait toujours du temps pour être avec Yukiko-.
Je disais donc, quand elle n'était pas en mission, un tiers de son temps était consacré à ses entraînements, un autre tiers étaient consacré aux animaux, et le dernier tiers, bien, c'était partagé entre un peu de repos et les loisirs. Yukiko passait beaucoup de temps avec Misaki. D'une, et bien, parce que cela faisait maintenant un peu plus d'une dizaine d'années qu'ils se connaissaient -en fait, ils avaient été dans la même classe à l'académie-. De deux, et bien, il ne la laissait pas indifférent, et inversement d'ailleurs. Certains auraient pu le voir d'un mauvais oeil mais bon, Yukiko s'en fichait. Elle l'aimait, beaucoup, même plus si bien qu'un jour, ils quittèrent la maison pour une petite sortie, comme ça, rien que tous les deux. Ils s'étaient promenés main dans la main et avaient fini par atterrir non loin d'un étang -qui, au passage, était dans la propriété des parents de Yukiko-. Y'avait aussi une petite cabane. Certaines diraient que c'était un petit nid douillet, quelque chose dans le genre quoi. Brèfle, j'vais pas non plus vous conter dans les détails ce qui se passa dans cette cabane, cette fois-là et d'autres fois d'ailleurs.
• Sauf que ... Yukiko ne sut jamais comment mais son paternel apprit que sa fille faisait des galipettes avec Misaki. Une situation plutôt gênante pour le paternel, qui ne voyait pas cela d'un très bon oeil. Non, et il préférait éviter d'ébruiter cette affaire embêtante pour lui -parce que ça pourrait entacher son honneur et aussi parce qu'il avait bien d'autres projets pour sa fille-. Yukiko ne revit jamais le charmant Misaki. Son père avait tiré quelques ficelles et avait demandé à ce qu'il soit envoyé bien loin du village, genre, dans une mission qui durerait pendant des années et des années.
Yukiko fut, une nouvelle fois, extrêmement malheureuse et eut une période plutôt dépressive où son frère tenta de lui remonter le moral, mais en vain. Cela ne faisait qu'augmenter la haine qu'elle avait envers son père. Elle ne comprenait pas pourquoi il s'était interposé. Sûrement qu'il avait des projets pour sa fille chérie, genre la marier à un riche je ne sais quoi, juste pour se faire un peu plus de blé. Et cette aventure avec ce ninja avait fortement contrarié ses projets du fait que ... Et bien, qu'elle n'était plus "pure", selon ses propres termes. Crétin à la noix.
• Sa haine envers son père aurait pu, petit à petit, s'estomper. Sauf que le paternel fit quelque chose qui répugna encore plus la jeune fille lorsqu'elle eut, à peu près, 18 ans. Il délaissait de plus en plus les animaux, les frappait, oubliait de les nourrir et d'autres trucs encore pires. Sans oublier que la vie des pauvres employés devenait de plus en plus infernale. Va-t-on savoir ce qui s'était passé dans sa petite tête pour un tel changement. Ce fut, pour ainsi dire, la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Dans un accès de colère, Yukiko avait récupéré le tisonnier bien chaud près de la cheminée et tenta de l'abattre sur son père qui, du fait qu'il avait un peu bu, dormait tranquillement dans son fauteuil. Sauf que Akihiko, qui était par là, se leva aussitôt et stoppa sa soeur dans ses gestes. Mais c'était sans compter sur la présence de deux loulous bien vicieux qui obéissaient au doigt et à l'oeil de l'adolescente. Sans un mot de sa part, les deux loups noirs avaient sauté à la gorge du paternel et voilà qu'ils le déchiquetaient.
Même si c'était Yukiko qui avait initié cela, Akihiko, en bon frère protecteur, avait pris sa petite soeur dans ses bras et avait tout fait pour lui faire détourner du regard. Lui, par contre, n'avait pas pu s'empêcher de regarder. Peut-être parce qu'il pensait que son père méritait tout cela. Après tout, depuis quelques temps, il était devenu méchant, acariâtre, renfermé sur lui-même, grognon, et violent surtout. Akihiko avait toujours peur lorsqu'il devait s'absenter de la maison et laisser sa soeur seule avec lui. Qui sait ce qui aurait pu lui passer par la tête ? Une enquête fut tout de même menée mais bon, on ne pouvait pas accuser les deux enfants qui n'auraient pu évidemment pas réduire en morceau le paternel de la sorte. Mais les deux loulous responsables, malheureusement, furent piqués, car jugés incontrôlables.
Quelques mois plus tard, Akihiko quittait le domaine familial, peut-être parce qu'il n'arrêtait pas de se dire qu'il n'avait rien fait pour arrêter cette tragédie. Yukiko lui avait demandé à plusieurs reprises de changer d'avis et de rester près d'elle. A plusieurs reprises, il avait accepté mais là, il ne pouvait plus. Une nouvelle fois, elle l'avait supplié de rester, prétextant qu'elle serait aussi prête à faire n'importe quoi pour qu'il reste près d'elle. Mais ses supplications ne changèrent rien. Il avait besoin de changer d'air. Après un baiser sur son front, Yukiko regardait son frère s'éloigner et disparaître au loin.
• Suite à cela, les hautes instances de Suna -à l'époque, c'était les hautes instances, du fait que Shyûhei était mort et qu'un nouveau Kazekage n'avait pas encore été désigné-, décidèrent, d'un commun accord, d'envoyer la jeune Shinobi à Konoha. Disons que, pour eux, c'était une sorte de prêt, qu'elle apprendrait des choses intéressantes à Konoha. Et l'Hokage de l'époque, alias Hatake Kakashi, 3ème du nom, n'avait pas refusé puisque, soit disant, que ça renforcerait l'alliance entre les deux villages. Voilà donc Yukiko quittant Suna avec quelques affaires, ses biens les plus précieux, dont un bouquin appartenant à son frère. Yukiko voyait ce "prêt" plutôt comme étant une punition, du fait que son père était mort mystérieusement. Mais bon, ce n'était pas elle qui avait ordonné aux chiens de l'attaquer. De toute manière, c'était peut-être mieux comme ça. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'ainsi, la demoiselle pourrait refaire sa vie et ne penserait plus autant à son frère.
• Les premiers temps d'adaption furent difficiles à Konoha. Elle ne connaissait personne, on la regardait bizarrement. Surtout, on se demandait pourquoi elle était si pâle alors qu'elle aurait dû être bronzée, ou du moins, avoir un teint un peu plus halé. Mais non ... Yukiko ... n'aimait pas vraiment le soleil. Nan ... Tous les deux n'étaient pas vraiment copains. Sans oublier que la demoiselle avait la peau qui brûlait facilement au soleil. Enfin, brûler, façon de parler. Disons qu'elle chopait rapidement des coups de soleil. Mais bon ... Yukiko faisait du bon travail et elle ne tarda pas à se faire respecter parmi les Shinobi de Konoha, même si son coeur appartenait toujours à Suna.
• L'année de ses vingts ans, Yukiko entra dans les forces Anbu. D'ailleurs, à ce jour, elle y est toujours. Elle fit la rencontre de Shinji Uchiwa, un type bien plus vieux qu'elle. Yukiko avait entendu parler de lui parce qu'il avait, apparemment, participé à de grandes batailles importantes dans sa jeunesse. Disons que ... Sur le coup, elle avait été quelque peu impressionnée mais bon. Au départ, elle ne portait pas plus que ça attention à lui. Mais ... Il fallait croire que le destin en avait décidé autrement puisque monsieur avait été assigné comme "professeur" de la demoiselle. Du genre, les premiers temps, comme elle était toute jeune Anbu, il lui avait appris les ficelles du "job". Une certaine complicité s'était formée entre eux deux, mais rien de plus.
• A ce jour, Yukiko est toujours Anbu dans les rangs de Konoha. Suna lui manque, surtout le sable fin et chaud, et le soleil. Oui, qui l'aurait cru ? Le soleil commence à lui manquer, du fait que ce n'est pas vraiment le même qu'à Suna. Dans le désert, il est plus chaud, plus lumineux. Là ... Ses couleurs sont quelque peu ternies, en quelque sorte.