Entrai^nement de Naijin

Je me rendis à l'hôpital et demandai à apprendre des techniques médicales. Je voulais approfondir mes connaissances.

Bonjour, Kazekage. La raison de ma visite est assez simple, en fait: voilà, je souhaite approfondir mes connaissances. Je connais des techniques de sable pour venir à bout de mes ennemis, mais je suis aussi venu à la conclusion que je ne pourrais pas supporter le mort d'un ami sans que je puisse réagir. Donc, je voudrais apprendre toutes les techniques médicales afin d'avoir une chance de les sauver, si tel est le cas.

Il était en effet temps pour moi d'équilibrer les choses: battre les gens était une chose, leur faire du bien en était une autre. Je me concentrai ardemment, joignant mes doigts entre eux. La base des jutsus médicaux était avant tout de la concentration. Donc, rien ne devait me perturber. Je devais canaliser avant tout mon chakra dans mes mains, puisqu'ils sont le point contact d'une bonne technique médicale. Je devais pouvoir sentir mon chakra dans mes articulations, pouvoir le sentir me faire mal. A ce moment-là, j'esquissai un sourire: pour faire du bien aux gens, je voulais faire en sorte de pouvoir sentir mon propre chakra me faire mal. C'était le comble. Peu importe, je devais réussir. Peut-être pas du premier coup, mais je réussirai. Je composai rapidement un signe.
- SHOUSEN!

Je recommence l'opération. Je n'étais surement pas assez concentré.
-SHOUSEN!

Il faut que je recommence. Soigner les gens devient un nouveau hobby. Je pense que cela avait du me marquer depuis le jour où j'ai du évacuer plusieurs personnes seul jusqu'au village de Suna. Voir tous ces gens sans pouvoir les aider directement sur place m'avait profondément marqué. Ou était-ce parce que cela me renvoyait à mon incapacité d'antan à empêcher la mort de mes parents? NON! C'est pas le moment... Ce n'est pas en pensant que je deviendrai concentré: je pense beaucoup trop! J'ai lu quelque part que les samourais étaient de grands ninjas par leurs faculté à ne penser à rien, ce qui leur donnait une meilleure efficacité à lutter. Je recommence donc
SHOUSEN!

Je ne pensais pas que ce serait si dur de devoir apprendre des jutsus médicaux. Mais je le sais, je n'abandonnerai jamais. Peu importe les chemins et les embuches qui peuvent me barrer la route... Je recommence ma concentration à son maximum: ne penser à rien, c'est la seule règle à observer si je voulais réussir de cette manière. J'amenai mon chakra jusque dans mes mains. Les seules fois où je le faisais, c'était pour me montrer à moi-même que je valais réellement quelque chose. Aujourd'hui, je devais savoir si je pouvais faire quelque chose pour les autres. Je savais que je le pouvais. Ca ne dépendais que de moi... Et il était temps que je voie par moi-même ce que je valais!
- SHOUSEN!!!!

Après l'entraînement, j'attaque l'examen pratique, en somme. Sympa. Maintenant que je savais faire, pourquoi ne pas essayer? Je croisai mes mains au-dessus de la jambe cassée de l'homme qui me fixa bizarrement. Je ne devais surtout pas lui montrer mes craintes à ne pas réussir. Mais de toute manière, quel mal pourrais-je lui causer de plus? Je malaxai mon chakra et l'amenai avec la plus grande concentration jusqu'à mes mains. Je devais en amener le plus possible pour pouvoir ressouder les os. J'en amenai de plsu en plus à chaque minute.
- Vous êtes sur de savoir ce que vous faites? demanda l'homme.
Je le regardai.
- Ayez confiance en moi. SHOUSEN!

C'était ni plus ni moins recommencer l'opération de Shousen, sauf que je devais faire preuve d'un peu plus de concentration pour cette technique. Je pouvais aussi le faire si je m'en donnais les efforts. Aussitôt, je malaxai mon chakra aussi profondément que possible et cherchai à l'amener dans mes mains. Le tout était effectivement d'en amener autant que possible, suffisament pour avoir l'énergie nécéssaire pour pouvoir réparer les blessures avec cette technique. En amener le plus possible... Je devais me fixer ce but, plus rien d'autre ne comptait réellement.
- IRON NO JUTSU!!!

*le chakra partait en tout sens et se concentrait mal dans les mains* essaye de plus te concentrer du est un hyuga donc cette technique ressemble au kaiten peut de choses y differe reessaye

(hs:je connai cette technique et je sui sanin de suna donc jai le droit de t'aprendre cette technique)

Ca c'était nouveau!! Je recommencai à nouveau l'opération, frustré d'avoir subi un échec! Je malaxe à fond mon chakra, ne me concentrant que sur cette objectif. Je mis mes mains face à moi, les deux majeurs se touchant presque. Sans penser à rien d'autre, je continuai à malaxer mon chakra de toutes mes forces. Plus aucun souffle, plus aucun bruit... Il n'y avait que moi et les ténèbres. Je devais pouvoir sentir le chakra dans mes mains, il devait pouvoir en jaillir, exploser... C'était mon seul but, la seule chose à faire.
-IRON NO JUSTU!!

La persévérance se paie: c'est apparemment mieux que le premier essai. Mais c'est pas encore ça. Je me remets donc en position, c'est-à-dire les deux mains devant mes yeux. A nouveau, je ne pense plus à rien d'autre qu'à canaliser toute mon énergie dans mes mains, suffisamment pour être capable de faire un scalpel à partir de mon propre chakra. Je dois être à la hauteur de ma tâche. Je dois sentir que mes mains ont suffisamment de chakra en elles: c'est le seul moyen pour pouvoir me dire que cette technique a marché. Je ne dois pas douter de mes capacités: je n'ai aucune raison d'avoir des doutes puisque je suis arrivé si haut. J'éprouvais les doutes quand j'étais un Genin, ce temps-là est désormais révolu. Mes mains commencèrent à me démanger de l'intérieur, comme des picotements incessants que même le fait de les gratter ne suffirait pas à les soulager... Ce n'était rien d'autre que mon chakra, rien de plus. Aucune importance, d'autant que je ne joue pas sur une attaque où je dois combiner une certaine rapidité, comme Gyafukuu no Jutsu. Ca n'a aucune importance, de savoir si je rate ou non, en fin de compte. Ce qui est important, c'est de savoir la maîtriser. J'essaye donc une nouvelle fois, en espérant que ce serait la dernière.
- IRON NO JUTSU!

Il me fallait tant de chakra que ça? pensai-je en renouvelant l'opération. J'étais estomaqué: plus les techniques médicales étaient complexes, plus la masse de chakra malaxée était importante. Qu'est-ce que je recontes, là? Je me serais bien donné des claques: bien sûr que oui, c'était le cas!!! C'est bien la première chose qu'il faut savoir quand on utilise des techniques complexes: décidément, même à mon niveau, j'aurais sans doute besoin de reprendre mes cours de l'Académie.
Un scalpel à chakra n'est vraiment pas une entreprise simple, loin de là. Je venais de soumettre l'ensemble de mon corps, l'ensemble de mes organes internes à la réalisation de chakra. Je devais absolument être capable d'en faire suffisament malaxé et compact pour pouvoir le rendre solide et ainsi, couper l'arrivée de chakra de l'individu. Un peu comme la technique Jyuuken, à la seule différence que j'utilise cette technique non pas pour soigner, mais pour me donner l'avantage dans un combat. La différence est plutôt énorme... Je continuai sans cesse dans mon entreprise difficile, sans pour autant affirmer qu'elle est périlleuse, non, loin de là. Je comprenais simplement mieux à présent ce que le terme "travail acharné" pouvait signifier pour n'importe quel ninja digne de ce nom. Toujours et encore, je malaxai mon chakra, tentant d'être aussi calme et concentré que mon âme me le permettait. Je pouvais le faire. J'attendis donc que mes mains en viennent jusqu'à me brûler la peau pour juger que le moment était bien choisi. Du moins je l'espérais.
- IRON NO JUTSU!!!!!

L'heure de vérité avait donc sonné. Mais ce n'était pas comme un glas, mais blutôt comme la cloche qui signifiait pour moi l'acquisition complète d'une toute nouvelle technique de guérison. Je malaxai donc une nouvelle fois mon chakra, en plaçant mes mains devant moi, les deux majeurs presque connectés l'un à l'autre. Couper les fils de chakra qui reliaient la marionnette à Daebrylla: voilà où résidait mon nouvel objectif. Je devais le faire. Mes mains devaient luire d'une lumière telle qu'ils n'en avaient jamais connu. C'était la seule option. Je fermai alors les yeux. Aucune chose ne devait me perturber: il n'y avait plus que moi au milieu d'un océan de quiétude, aux eaux bleues claires, si limpides. J'étais seul et commençai à n'avoir pour seule compagnie que le bruit du chakra qui lentement mais surement transformait mes mains en lampe-torches. Il le fallait. Je devais continuer: une concentration extrême + un chakra malaxé sous toutes ses formes = la meilleure des recettes pour une bonne technique. Meme en étant Sanin, il existait encore des choses qui pouvaient me surprendre. Comme quoi, sur cette planète, il y aviat toujours quelque chose de nouveau à apprendre. J'ouvris alors les yeux et me retrouvai face à mes propres mains, devenues flamboyantes, d'un bleu bien plus brillant encore que ne l'était le ciel au-dessus de ma tête. Je reportai alors mon attention sur les fils de chakra qui se trouvaient devant mes yeux. J'abaissai alors mes deux mains dessus violemment.
- IRON NO JUTSU!

Bien. Il fallait donc reprendre la partie à zéro. Je malaxai donc une dernière fois mon chakra -du moins je l'espérais- et me concentrai. Dans le même temps, j'amenai mes mains face à mon visage, faisant en sorte que mes deux majeurs aient l'imporession de se toucher, vu par un examinateur extérieur. Mais ils ne le sont pas, bien sur. Je savais désormais à quel niveau de chakra je devais espérer arriver pour pouvoir couper les fils de chakra de la marionnette. Mais je me demandai alors si cette technique ne pourrait pas m'être utile en combat singulier. C'est vrai que la pensée pourrait être alléchante, mais je suis censé battre quelqu'un, non pas l'empêcher d'être un ninja. C'est pas ça, ma vocation. Je continuai encore à malaxer mon énergie vitale jusqu'à comprendre que j'avais atteint le bon niveau, le même que lors de ma première tentative. Il m'en fallait encore un peu plus pour ne pas avoir à produire qu'une simple brèche. Je maintins donc mon acharnement à en produire de plus en plus, en fermant les yeux presque avec effort pendant quelques secondes. Au moment où je les rouvris, mes mains arboraient une couleur bleue incroyablement luminescente, à un tel point que je me demandai si elles ne seraient pas à même d'éclairer sans peine une caverne sombre. Je jugeai le bon moment arrivé: j'abattis mes deux mains sur les fils de chakra qui reliaient la marionnette à Daebrylla.
- IRON NO JUTSU!!!!